3 janvier 2009
c’est bien en Indochine que j’ai laissé la moitié de mon cœur
Ce retour est terrible. Nous avons l’impression d’être des pestiférés. On nous fuit. L’Etat-Major est gêné par notre retour. Sommes sa mauvaise conscience. Il devrait plutôt se rappeler ces milliers de héros anonymes, morts pour la France et qu’on a trop...