12 février 2008
Nuon Chea
Pour la première fois, des victimes des Khmers rouges ont fait face
à un ancien leader du régime génocidaire qui a fait 1 700 000 morts. Le
visage de l’ancien bras droit de Pol Pot placé en détention provisoire
est resté de marbre. La défense a argumenté en faveur de sa remise en
liberté au motif qu’il ne constitue pas une menace pour l’ordre public.
En réponse, les avocats des parties civiles ont fait valoir les
sentiments d’angoisse, de rancœur et d’injustice qui étreignent encore
aujourd’hui les nombreuses victimes de ce régime.
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